Parce que l'analyse est nécessaire.
La volonté d'être aux normes sociales et au must du paraître, c'est sur ces bases que nombre d'(in-)femmes prennent leur rôle, leur mission, leur destinée de mère-maman comme un sac d'ennuis et de contraintes.
Combien de fois elles s'acharnent sur leurs enfants car ceux-ci ne fonctionnent pas comme l'espère tant leur maman-hyper-femme-branchée-maxi-professionnelle-culturelle.
Un rôle dont temps, patience, rigueur et sagesse doivent s'associer afin d'offrir le meilleur. Cependant, dépendantes d'une modernité à valeur boursière, elles veulent déléguer et gérer, critiquer sans l'être, être les meilleures sans pratiquer, claironner la réussite sans en être la source.
Le temps avance vers sa fin. Elles cavalent vers l'inutile et l'immoral. Peu en tiennent rigueur et le goût des biens et services leur est bien plus lumineux que l'amour d'un enfant.
Future génération de mal-aimés, ils finiront chez ces psychopathes des loges, tandis que ex-maman arpentera les centres commerciaux en compagnie d'un paumé.
Au passage, nos enfants ont du souci à se faire tellement ces membres du sexe faible participent à la mauvaise fable en multipliant la quantité de conquêtes gage de la supOrcherie ambiante.
Si l'oreille elles tendent, le dialogue ne sera point détendu. Hystérie hormono-cérébrale pour unique argument... La fin des temps accumulent les âneries de ces mûles.
Ces messieurs en sont témoin mais le venin agit sur les étalons.
C'est perdu. A jamais.