mercredi 30 octobre 2013

Proverbe ou verbe du pro

Proverbe ou verbe du pro.

Il existe un proverbe célèbre "on n'est jamais mieux servi que par soi-même".
Base de réflexion et d'appel à la logique, au bon-sens et à la débrouille.
Antidélégataire par excellence.

Quand t'es dans un pays où le contraire est rigoureusement et religieusement appliqué c'est extrêmement fatiguant, usant. Le pire c'est que tout autre s'improvise spécialiste.
Travail bâclé à faire refaire par un gugusse de la même catégorie. Inutilité infinie.
Gain de temps? Ou fin des temps..?

femme de la fin

Émanescence de l'imbécile féminité: le coup de merde de dernière minute.

Eh oui. Le mec, même malade il va au taf, au foot, faire les courses, au repas super relou que madame apprécie tant... Il fait des travaux, bricole, satisfait madame, s'occupe des bzos. Bref, il tient la baraque. Son moderne rôle loin de tout repos pour trois pesos.

La femme. La moderne,très à la mode, très pro, très string, très brushing...
Malade c'est stop. Mais non négociable mon fifi. Abstiens-toi camarade.
Il faut que la planète, que dis-je l'univers, se penche sur l'extrême gravité du bobo.

Donc quand c'est en dernière minute et qu'c'est bibi qui est en première ligne, il passe pour une merde. D'où le titre.

Pitoyable femme de la fin des temps

inversion totale des valeurs - exemple

Au Maroc un vrai travail, utile et plutôt pro (norme locale, ne vous excitez pas...) c'est pas payé.

Un travail parasitaire, ça c'est excellemment rémunéré.

Chez les meuslims il existe le dit "fissabillah". Eh bien, dans l'royaume dont l'édile noyé d'oseille fait office d'émir des croyants, je vis cette absence. Rien de gratuit.
Base de la corruption morale, base de la perversion, base ainsi institutionnalisée de Satan.

Moi aussi je vais m'y mettre. Et v'là l'prix bande de sacs à merde. Vous en voulez, moi aussi! Et à vil prix!

lundi 28 octobre 2013

un point sur un i

Mais quelle saleté!
Irrespect..!

L'islam avec un gigantesque i nous a enseigné, entre autres, la propreté et le respect.
Euuuuuh-lllôô (euh-là) comme on dit dans la région d'la famille...!
Une fin de vie minable dans un hall. On agglutine les neuneus. Un coup d'couteau hyper mal maîtrisé... Giclée, everybody est content. Même tes ennemis sont présents, tout baigne... dans le sang...
La peau de l'animal qui finit dans les chiottes, la crasse a gagné bien trop d'espaces.
Je veux pisser mais les ?chiottes? ont tant glané d'impuretés que mes besoins s'effectueront un jour à l'extérieur de la bâtisse...
J'y suis contraint et forcé mais laisser de soi en ces lieux, c'est irritant.

Au passage, pays -selon eux "hyper musulman" ou encore "d'un islam profond et maîtrisé"- à l'islam débranché, tuer la bête avec sa trogne orientée vers la Mecque, c'est partout..! J'en déduis qu'il faut une Mecque mobile ou une piqûre (mortelle) de rappel. Pour finir je ne l'estime pas consommable, car malgré l'hyper-islamité (ou hypermarché...) du royaume, un critère du halal est absent...
Chah!!!





MUSULMOINS

Je l'ai enfin trouvé. Le musulmoins. Un exemple.

Satanée, gonflante et honteuse position. Posi-SION?

Un ou une gugusse se paye ta trogne. Je m'explique: tu lui rends service et lorsque t'as un little ou big service à demander c'est walou. Excuse bidon, un mono-neuronné ne s'y méprendrait point.

L'islamo-maroco-musulmoins il te la fait non-seulement en "yallah safi... c'est bon" façon faut surtout pas s'énerver mais façon aussi miskin il a une excellente raison...!?
Le plus dur c'est le on oublie tout immédiatement, il te la met facile et profondément, derrière tu te prosternes comme une merde et le compte parmi les gens qui comptent...

A ce rythme, si Dieu devait rendre justice de part ces individus, il n'y aurait plus grand monde pour aller en enfer...

Le principe d'un principe c'est de le maintenir. Si un connard n'en est jamais un, c'est à mon goût baisse ton falzar à tous les coups!!! Fini la pudeur... Fini l'Islam?

mercredi 23 octobre 2013

Un aller MEKNES > FES dans un taco Merco blanc en mode malade, de nuit…

Un aller MEKNES > FES dans un taco Merco blanc en mode malade, de nuit…

Ca commence sévère, on charge nos carcasses et nos bagages.
Et vlan la porte se ferme, notre chauffeur fait ronronner le moteur, c’est parti, en voiture Miloud.
On commence par arpenter les rues et boulevards de MEKNES, interminable…
Puis on finit par accéder à la ?nationale ?, là les choses sérieuses commencent.
Ca baroude en pagaille, vitesse limite 60 km/h mais le Merco atteint les 100.
Coup de klaxon et hop on double.
On croise piétons, mobs, biclounes, des trucs qui ressemblent à des ânes. Vroom vroom, pas l’temps de faire un diagnostic. Pendant ce temps bibi tousse et pète en loozdé, une barre au crâne, pas joli mais le trajet nécessite de rester un poil éveillé.
Au passage, notre joli (que dis-je, magnifique !) couple est assis en doublette devant, on sent le poids des décennies dans les creux du siège (ce qu’il en reste), j’en ai des crampes à la cuisse droite et à l’épaule gauche. Derrière les membres du bled profitent de la gentille balade nocturne.  
Ca continue, route sans fin, on double, freine, accélère, le chauffeur, imperturbable, les yeux rivés sur la nuit, il fonce comme jamais. Devant c’est un peu lent, pas de clignotant, tut tut !! Hop il décroche à gauche.
Plein gaz, on avance, folklo, 7 dans la Benz Benz Benz à toute berzingue, mais qui a sa ceinture ? La blague…
Je pense me lancer dans un « chauffeur, khouya, t’as fait un contrôle technique ? », mais ça risque de le vénère… Je me tais.
Un Merco gris chargé comme une mule nous double, il paraît équipé d’une espèce de gros câble-antenne-TV ? sur l’arrière gauche, il enchaîne, il part à fond la caisse, imprenable.
On entre dans FES, ça ralentit un peu mais notre pilote est toujours pied au plancher.
Fin du voyage, dérapage...
Un vrai film... mais un bon!

samedi 19 octobre 2013

Explosion programmée

Un avenir explosif

Le royaume du Maroc se félicite d’accueillir par immigration inversée des espagnols. En effet plusieurs d’entre eux ne viennent plus pour y faire du tourisme. Revers de médaille européiste.

La finance a gagné du terrain dans le royaume chérifien. Cosmopolite par essence, elle s’insère au plus profond des territoires et traditions pour une destruction programmée. Malsaine elle fait affluer des noirs-africains en pagaille au Maroc et le Roi décide de leur filer des paplars. En Ex-France on connaît la donne. Nos amis marocains se font croquer comme des macarons…

On en reparlera.

vendredi 11 octobre 2013

la fâme au foulard, du lard pour un fou?

Il en existe de toutes sortes.

Il en est une qui m'a conforté, l'analyse par la justesse du regard envoyant au cortex cérébral la nécessaire information qui fit solidifier le propos.

St Lazare, sortie du Métro 14, le type est pressé, manifestement trop pour ne pas suffisamment éviter ses compères moutons travailleurs du tertiaire.

Je l'évite.

Il poursuit sa route, accélérateur branché, il finit par percuter une (in-)fâme.

Elle le chouffe, je m'aperçois qu'elle s'accoutre d'un foulard noir assorti au reste (le jean est moulant car surplus de mou...).
Je m'attends à "Inch'Allah mon frère il va le défoncer" ou encore "Soubhan'Allah le mec il s'croit où?" ou bien "Wallah les gens il est fou".

J'ai entendu "Putain...! ENculé!!"

C'est l'Islam des quartiers par le verbe, notoire foulard qui pardonne tout, une islamo-maghrébo-halalo-française paumée et enrobée.

Alawak-bar rappelle certains.
 

mercredi 9 octobre 2013

Une potentielle info croustillante

BFM Info

L'ignominie a encore frappé.

Un individu, pour le moins terroriste, s'est présenté ce dimanche devant son éminence universelle Hacène CHALGHOUMI.
Le malfrat aurait prononcé 3 mots puis lui a asséné un incroyable coup de tête. La violence du coup a surpris l'édile de l'islam français.

La sainte chance a voulu que l'émir se carapate à toutes jambes afin d'échapper à la crapule adverse. Porteur de paix, il n'a pas riposté afin d'éviter d'entraîner le pays dans le fracas et le chaos.

L'individu est recherché par la police et le ministre démocratique Manuel VALLS en personne. Il a ce midi été aperçu au volant d'un scooter de la Police du 20ème arpentant le boulevard périphérique.

Le meilleur imam de France a été transporté par avion présidentiel et est hospitalisé dans une clinique de Tel-Aviv.

Ce crime aggravé montre à quel point l'islam est détestée alors que son représentant fait l'unanimité parmi les fidèles.

Partagez svp.

mardi 8 octobre 2013

ISLAM

Islam         y slam          e-slam

Mémoire.
L’Islam en France s’est refait une santé (boiteuse ?) dans les quartiers populaires. Les mosquées n’ont pas poussé dans les centre-ville mais bien au beau milieu des barres tant horizontales que verticales, bluffant certains, satisfaisant d’autres.
Par ailleurs très souvent ex-caves, elles ont par la suite renfermé de sombres (pas de lumière) fisto-salafistes.
Non les Didier, Michel, Alain, Francis, Gilbert etc. n’ont jamais géré les associations et autres fédérations islamo-culturo-arabo-musulmanes. Seuls les Miloud, Mohamed, Abdel, Mokhtar ont été au sommet. Parfois incultes et illettrés, ils faisaient le job de négociateurs pour les fidèles. Ils avaient la bénédiction (de qui ?).
Une jeunesse désintéressée ou dégoûtée, schéma complexe ne facilitant point l’unité.
Nos chers (en euros) politiques ont pénétré le milieu des affaires islamo-maghrébines car sachant que le financement ou la promotion d’une mosquée balaierait d’une fessée (sur les fesses à nu après le falzar baissé) les revendications sociales d’une classe populaire immigrée.
Aujourd’hui bon nombre de bâtiment sont dédiés au culte musulman (attention ne pas omettre dans l’affaire la prépondérance du sunnisme exacerbé). Un semblant de mosquée pour certaines, d’autres font office d’orifice.
Les barres-bus et les fou-lards s’y réunissent, qu’en penser.. ?
L’aide sociale française et la pouvoir maçon-nique en sont le support et le suppositoire. Constat.


Au plus 5%
C’est gênant, ça vous emmerde.  Mais c’est en parfaite adéquation avec  le reste.
La théorie du
« Au plus 5% » :
-          De la viande estampillée comme tel est halal,
-          Des tissus sur chevelures sont des foulards,
-          Des mosquées portent réellement leur nom et attributs,
-          Des musulmans le seraient ???
J’arrête, y’a trop d’arrêtes.
Attention au terme, au plus signifie qu’il y moins voir beaucoup beaucoup beaucoup moins.


Elections ou érections

Elections

Prochaines élections munici-pâles.
De nombreuses listes d’intérêt citoyen vont voir le jour, pourquoi pas.
De très anciens abstentionnistes et néophytes du genre vont gagner du terrain.
La Marine va gagner en volume et en voix (urnes et décibels).
Inutiles ou nécessaires. Choix délicat.
Une chose est sûre, les parasites du système les adorent, à nous de les haïr ?
Les = parasites     ou     les = élections.

Moisie

Elle fouette du bec, c’est nauséabond, t’y mets la flamme d’un briquet c’est détonation direct !
Elle s’alimente de nourriture (pourriture ?) chimico-chimique.
Elle a pour religieuse-religion un Islam dépourvu d’Islam.
Le maxitéléphone-ultracapable de tout gérer est son ami-mari-cerveau.
Elle ne se lave point.
Elle ne nettoye en rien ses sapes.
Elle cuisine en ouvrant un paquet de chips.
Elle écrit en lol-sms-texto soit onomatopées.
Sa maille traverse les trous du porte-monnaie.
Son intelligence se synthétise en affreuse bêtise.

Elle cherche un mari…
Si le gus accepte de porter la bague il ne la supportera guère, ce sera une guerre psychologique, tenable à tout casser 3 mois.
Ce fut une sacrée secousse, il s’en ira repu tellement ça pue, l’avenir lui viendra en rescousse. Espérons.
Le terme ne provoquera rien, la remise à niveau représentant une montagne elle en restera au pied.
Foireuse femme de l’infamie des temps modernes. 

Fin de France

Au sein d'un RER D à 13h40 au départ du Sud à destination du Nord, constat.
Quasi-unanimité des immigrés. L’unique çais-fran c’était wam.
Énormément voir uniquement des originaires d'Afrique noire.
Frontières transpercées voir inexistantes. Plante ta tente.
Le laïc nous l'analysera en Droits de l'Homme, le libéral en mondialisme, l’écolo en force de la Nature.
Le français n'a qu'à la fermer...


Je me remémore le vécu vendéen cet été. Les tenues, les instruments, les danses, les chants, tout y était, la traditionnelle France.
On a la même carte d'identité. Est-ce notre seul et unique point commun? Ah si, un second, misérable vagabond-nomade quotidien du RER D…