mercredi 23 janvier 2019
2 blagues non conformes, illégales, inhumaines
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Un rabbin et un prêtre entrent en collision lors
d’un accident de voiture. Les deux voitures sont complètement démolies mais,
curieusement, aucun des deux hommes n’est blessé.
Après que chacun se soit extirpé de sa voiture,
le rabbin voit la petite croix argentée sur le revers de la veste du prêtre et
lui dit :
– Ah vous êtes prêtre. Je suis rabbin. Regardez
nos voitures. Il n’en reste rien, mais nous ne sommes pas blessés. Ce doit être
un signe du tout-puissant. Dieu a du vouloir que nous nous rencontrions,
devenions amis et vivions en paix pour le reste de nos jours.
– Je suis entièrement d’accord avec vous. Ce
doit être un signe de Dieu.
Le rabbin poursuit:
– Regardez. C’est encore un miracle. Ma voiture
est en morceaux, mais cette excellente bouteille de vin d’Israël est intacte.
Dieu veut certainement que nous buvions ce vin et célébrions notre bonne
chance.
Il ouvre la bouteille et la tend au prêtre. Le
prêtre est d’accord et en boit quelques grosses gorgées (l’émotion, la
chaleur), puis rend la bouteille au rabbin. Le rabbin prend la bouteille, la
rebouche puis la rend au prêtre.
Le prêtre demande :
– Vous n’en buvez pas ?.
Le rabbin répond :
– Non… Je crois que je vais attendre la police.
VOEUX Gaulois non républicains
Un paysan adresse ses voeux à Sieur zameul Macron, démocrate apatride et cupide, zbire des lobbies et autres groupuscules esclavagistes.
Lettre ouverte de Bonne année
à Emmanuel Macron, Président de la République,
d’un Paysan, qui fut combattant volontaire,
afin que cette République ne devienne point ce qu’elle est devenue.
Monsieur le Président,
Comme,
contrairement aux partis d’opposition, je vous crois sincère dans vos
erreurs, je m’étais promis de vous écouter avec la plus grande
attention, mais j’ai eu de grandes difficultés à le faire avec
bienveillance. Internet en effet me signalait, que nos sénateurs
venaient de toucher leur prime de fin d’année, et j’ignorais cette
tradition qui semble signifier que leurs émoluments de 7209,74 Euro
mensuels, ne sont pas suffisants pour payer leurs mérites. J’ai pu
constater aussi que, d’après les chiffres donnés, cette prime
représentait 12 mois de salaire moyen pour certains paysans qui
m’entourent, et la rubrique ajoutait au sujet de quelques mystères de
ces retraites pharamineuses :
« Le Sénat refuse de s’expliquer sur ce dispositif soigneusement dissimulé : »
Bref je crains de n’avoir pas été serein pour vous entendre.
Remarquez
bien que cela n’est pas grave pour la tranquillité de la République,
car les paysans même misérables, n’ont plus l’esprit de la Jacquerie. La
Fédération des exploitants a réussi à les éduquer de telle façon qu’ils
préfèrent se pendre plutôt que de se révolter. Je pense que le ministre
de l’Agriculture peut dormir sur ses deux oreilles : La presse
républicaine est payée pour ne pas faire de photos sur les désespérés
qui pendouillent au bout d’une corde…
Malgré
votre passage chez Rothschild, dont généralement on ne sort pas avec
une âme d’enfant, je ne désespérais pas de vous voir prendre des Mesures
Populaires qui vous eussent assuré un renouveau de popularité après son
effondrement, car on peut vous trouver des circonstances atténuantes.
En
effet vous avez hérité de deux présidents qui flottèrent dans le bas du
pantalon de l’oncle Sam, et qui, à mon sens, devraient être traduits
devant un tribunal de Salut Public pour leur inconduite politique.
Ils
vous ont laissé non seulement une dette pharamineuse, mais aussi des
traités commerciaux esclavagistes, et un territoire en voie
d’islamisation galopante.
J’attendais
de vous un sursaut de virilité qui vous eut mis en phase à ce qui est
tout à fait légitime dans la revendication des gilets jaunes, avant de
vous en prendre aux envahisseurs.
Mais,
vous ne vous en êtes pris qu’à des casseurs dont je constate qu’ils
n’ont pas été, dans un premier temps, malmenés par la police ! C’était à
croire qu’ils avaient été payés pour que, par amalgame, ils
discréditent le mouvement populaire, qui ne vous faisait plus confiance.
C’est
dire que votre sursaut policier n’était que verbal, car depuis que vous
êtes en fonction, absolument rien n’a été fait par votre police pour
reconquérir les banlieues que vos prédécesseurs ont livrées aux
Coraniques. Et beaucoup estiment aujourd’hui, que s’il n’y a pas
reconquête contre les racailles, il y a complicité avec ceux qui
constituent déjà un Etat dans l’Etat.
J’avais retenu de vos vœux que désormais : « L’ordre public serait assuré sans complaisance » !
Hélas, la preuve que vous n’êtes plus maître du terrain ne s’est pas fait attendre.
Nous
n’avons pas de rapport global, mais le journal « Le Parisien » signale
que la nuit de la St Sylvestre, comme pour donner à vos propos
lénifiants le démenti qui convenait, 277 voitures étaient brûlées dans
la région parisienne ; dans le Rhône la préfecture avouait 5O de ces
feux de joie, et à Nantes, c’était un centre Socioculturel qui était
incendié. Nous ne saurons pas le total de ces effusions, car, dans le
fond, elles rendent service à l’industrie automobile Française, et en
sus, elles favorisent l’opération hautement crapuleuse d’obliger les
Français à acheter des voitures électriques, sans que la production
d’une électricité « écologique » soit assurée.
C’est
la plus belle arnaque qu’un Etat puisse concevoir : promouvoir le tout
électrique, dans le même temps ou l’on projette de fermer les centrales
atomiques qui seules couvrent l’essentiel de nos besoins.
Bref
dans quelques années il nous faudra abandonner le véhicule électrique,
pour nous soumettre aux merveilles d’un nouveau carburant, dont la
république nous assurera qu’il est d’ « avenir » !
Finalement,
seuls vous ont trouvé convaincant les députés que vous avez sortis de
l’anonymat pour qu’ils aient la reconnaissance du râtelier, les écolos
qui vous ont quelque reconnaissance, pour avoir fait lâcher quelques
carnivores, contre des bergers rétrogrades, et peut-être quelques
évêques Francs-Maçons, qui préfèrent la croix de la Légion d’honneur à
celle du Christ.
Je
crains Monsieur le président que vous vous trouviez avec de tels
alliés, face à la dernière invasion Coranique bien pire que celle des
Brittons, comme le petit Roi de Bourges qui ne régnait que sur sa cour.
Mais à ceci près qu’il n’y aura pas de Jeanne d’Arc à l’horizon.
Aujourd’hui,
avec la complicité du gouvernement socialiste, l’Espagne, par le Pays
Basque, déverse chez nous un flot continu d’éléments que même Chirac
jugeait déjà à son époque indésirables, mais que votre Castetner avec sa
tête de Chéri-Bibi, juge aussi compatibles sur notre sol que les
Catholiques.
Et
demain, lorsque le Zombie Bouteflika aura fini de se pisser dessus, ce
seront des millions de jeunes Algériens désespérés par leurs dirigeants,
qui subjugueront notre police, déjà insuffisante pour réprimer le
banditisme actuel.
Que ferez-vous demain Monsieur le Président lorsque la police sera obligée de tirer ?
Je
vous pose la question car on nous a appris qu’à Trappes, dans les
Yvelines, la police a dû tirer contre les « racailles » ameutées pour
protéger un violeur qu’elle tentait d’arrêter ! Je suppose que les
policiers ont tiré en l’air, car on ne signale pas de victimes.
Mais demain qu’en sera-t-il, quand les policiers, seront obligés de bien viser pour se garantir ?
Pour
l’instant les deux poids et mesures sont manifestes : Les Gilets jaunes
encombrant les rues sont réprimés, mais depuis 20 ans, à l’heure de la
prière musulmane diverses rues de nombreuses villes sont totalement
obturées par les Coraniques prosternés.
Vos préfets ont-ils reçu l’ordre de tolérer, ce qui, même dans les états musulmans, est interdit ?
Je
crois que le mouvement des gilets jaunes, que nul observateur n’a vu
venir, témoigne d’un retour de la virilité Française à laquelle je ne
croyais plus, et d’un engagement féminin à l’opposé de certaines
femelles qui se voulaient des salopes de progrès.
Il
est inévitable, que ce phénomène populaire, qui ne demandait hier que
quelques réformes de justice sociale, se durcira dans la mesure où ils
découvriront des réformes contraires à ce qu’ils réclamaient.
Or
la députée, Madame Ménard vient de dénoncer le fait que les allocations
des « demandeurs d’asile » ont été revalorisées de 1,6%, alors que nos
pensions d’invalidité ne le seraient que de 0,3% !
A
cette nouvelle, figurez-vous Monsieur le président, qu’invalide de
guerre, la balle qui m’a traversé la poitrine, il y a 65 ans, s’est
rappelée à mon souvenir…
Je
ne suis pas sûr, Monsieur le président, que les réformes que vous avez
promis de réaliser, puissent l’être, non pas par mauvaise foi, mais
étant donné notre situation financière. L’argent ne peut être pris que
là ou il est, et j’attends avec quelque curiosité que vous en arriviez à
faire payer « la fortune anonyme et vagabonde », qui nous ruine par
l’intérêt du capital, et qui a étendu ses tentacules sur l’Europe.
Cela
ne peut se faire sans une révolution, et il est rare qu’une révolution
puisse se passer d’un chef de guerre. Il est également rare qu’une
guerre soit menée sans effusion de sang.
Pour
éviter le pire, Monsieur le président, et pour éviter autant que
possible le sang des honnêtes gens, il faudrait, après avoir fait retour
au scrutin proportionnel intégral, qui élirait une chambre de service,
et non une chambre d’enregistrement et d’embourgeoisement, ce qu’elle
est aujourd’hui.
Elle
devrait être soumise à une certaine sobriété financière, ce qui
écarterait les Rastignac actuels de la chose. Il en devrait en être de
même pour les hauts fonctionnaires, c’est-à-dire qu’il conviendrait
d’abolir l’appât de la fortune qui actuellement détermine les vocations
Républicaines.
Mais
sur le plan de la politique intérieure, l’urgence immédiate serait de
commander le feu sur toute manifestation qui s’autoriserait de drapeaux
étrangers, et sur les incendiaires de poubelles et de voitures.
Tous
les djihadistes ayant du sang sur les mains devraient être exécutés,
car il est profondément immoral de faire payer aux citoyens, l’entretien
à vie des criminels. Et pour en éviter la multiplication, il faudrait
établir une citoyenneté « progressive » pour les étrangers de quelque
utilité, comme elle était dans la société antique, et sous serment.
Il
faudrait encore écarter de notre sol, toute idéologie ou religion, qui
n’accepterait pas l’égale dignité de l’homme et de la femme, ou qui
établirait des comportements contraires à l’ordre national.
Il faudrait interdire aussi le meurtre prénatal de confort, devenu une sorte d’industrie.
Les organes de presse ne devraient plus être subventionnés par l’Etat, au service de sa désinformation.
Et
sur le plan économique Il faudrait de toute urgence rétablir
l’indexation des prix sur les productions d’intérêt public, et en
particulier sur les produits Agricoles.
Il
faudrait revoir en priorité la politique immobilière, car l’habitat
actuel supprime tous les 10 ans la superficie d’un département de terres
agricoles, ce qui à terme, conduirait le pays à l’insuffisance
alimentaire.
Mais
je n’ai guère trouvé dans vos propos, ce que je crois nécessaire pour
rétablir l’équité dans la Nation, et pour prendre nos distances
vis-à-vis d’une Europe qui se désagrège faute de vertu. J’ai cependant
retenu que vous avez parlé du « mondialisme », mais je n’ai pas su si
vous en aviez quelque défiance, ou s’il vous était aussi cher qu’il
l’était pour Monsieur Rockefeller, qui reçut la légion d’honneur après
avoir affirmé que la gouvernance du monde par les banquiers serait le
prochain grand progrès…
Ayant
été paysan, artisan, Combattant Volontaire, et Conseiller Régional,
j’ai évolué entre les citoyens prosternés, et ceux qui tentent de sortir
du couloir de contention de l’actuelle république. Je crois que la
grande majorité des gilets jaunes est dans ce dernier cas, tout en
sachant qu’une révolution traine aussi des rats à l’infatigable
dentition. Ce qui est redoutable.
Einstein
qui appartenait à la race prophétique, semblait croire au triomphe des
rats, puisque, déjà à son époque, il estimait que nous allions « vers
une catastrophe sans précédent ».
Vous
êtes fort intelligent, Monsieur le Président, mais vous êtes moins
habile que Georges Pompidou qui sut négocier à temps pour éviter le
pire. Or il m’a semblé que vos souhaits visaient surtout à gagner du
temps. Hélas, l’évènement n’en accorde jamais.
Ce qui vient de se passer ce Samedi 5 Janvier, vient de démontrer la tentative mensongère de vos services.
Tout
ce qui émanait du gouvernement assurait que le mouvement populaire
était à bout de souffle, et que son audience s’effilochait. C’est
exactement le contraire qui s’est produit. La violence a gagné sur les
non-violents, et vos menaces de « fermeté »n’ont pas été prises au
sérieux. D’ailleurs ou enfermer les délinquants, quant il nous manque
déjà des milliers de places pour les condamnés de droit commun ?
Monsieur Castaner rêve-t-il d’ouvrir des camps de concentration pour rétablir l’ordre républicain ?
Votre
marge de manœuvre aujourd’hui s’est terriblement réduite. Il n’y a
guère qu’une chance pour tenter d’arrêter le désordre. C’est de donner
immédiatement droit à une des exigences des gilets Jaunes, ce qui
prouvera votre bonne volonté. Dans ce cas, vous pourrez condamner
quelques émeutiers violents, à charge de les amnistier dès que les
négociations que vous avez promises seront réellement engagées.
Souvenez-vous du tragique échec de la révolution Française.
La
sagesse parut triompher de l’émeute lors de la fête de la fédération de
1790 ! Et pourtant, nous eûmes 93 qui, suivant Pierre Chaunu, allait
faire en 4 ans, plus de victimes que 400 ans d’inquisition !
Je
ne sais pas s’il existe aujourd’hui une chance pour que le sang ne
coule pas, et je crains qu’elle ne soit faible. J’ai constaté d’ailleurs
que les deux éléments en présence, le gouvernement et l’émeute
populaire, se recommandaient des « Valeurs républicaines » que l’on ne
cite jamais dans le détail.
J’apprends
par exemple qu’un gilet jaune à été placé en garde a vue, parce que
dans une dispute avec un député de votre temple, il aurait employé le
mot « guillotine » à deux reprises, et cela a été considéré comme « une
menace de condamnation a mort », ai-je lu.
Or,
la Guillotine a été une valeur républicaine extrêmement efficace, et
si, sur le blason de la République, elle n’a pas été suffisamment
décorative pour y figurer, on y a tout de même inséré, la hache romaine
du Licteur, qui coupait aussi bien les têtes.
Je ne pense pas du tout que Monsieur Drouet ait cette intention à votre égard.
Il veut simplement, ayant perdu confiance, que vous partiez.
Vous
de même n’avez aucune intention homicide envers le citoyen. Vous
voudriez seulement qu’il se calme. J’ai compris que cet imprudent avait
l’intention d’allumer des bougies en mémoire des victimes tombées par
accident au cours des manifestations, et que vos Policiers craignaient
l’embrasement des Champs Elysées.
Par
contre, les bougies avaient été très bien venues par la République pour
rendre hommage aux victimes de « Charlie-Hebdo » les pires des salopes
littéraires que la France a endurées depuis le « Père Duchesne », et
cela appuyé par un régime d’escarpes, de lâches et de repus, depuis que
le mensonge est devenu avec De Gaulle, une façon légale de gouverner
ceux qui consentent à rester des veaux !
Il
faut rompre avec cette ignominie politique, qui nous à conduit ou nous
en sommes, et j’ai conscience que si vous le tentez, il va vous falloir
pour cela de l’Héroïsme.
Moi, Je ne souhaite pas que vous partiez mais que vous vous convertissiez à la nécessité de l’heure.
Et je n’ai aucun autre moyen Monsieur le président, de vous souhaiter la bonne année.
Alexis Arette,
Paysan
En la fête des Rois, le 6 Janvier 2019.
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