Animalerie de la fin des temps
En ces temps de bombardements et de Ramadan, des « jeunes » incendient automobiles et poubelles au sein de quartiers déjà bien bien flingués.
Un 77 Sud déjà défiguré, voit ses citoy-rien-s l'enfoncer encore.
« Escalade de violence », « l’insécurité explose », « les gens ont peur », « que faire face à cette délinquance juvénile ? » titreront les empressés journaux.
Revenons aux individus, à leur dû. Ces êtres vivants ont pour la majorité des géniteurs/génitrices issus d’ailleurs. Ils arrivent par paquets, s’installent aux frais du contribuable et des entreprises, enchaînent les mômes et ne font rien de leur journée, dépensant les allocs et aides en tout genre dans des saloperies du quotidien et la perfusion monétaire au bled.
Après y’a leurs « enfants », de même revenons au sacré. Les enfants c’est sacré, procédé de création quasi surnaturel tant l’édification d’un petit être est à la fois complexe et harmonieuse. Une fois sortis (éjectés?) du ventre de maman, c’est un engagement, un pacte, une union qui s’installe entre les parents (pas le même terme pour tous) et le bambin doux, tendre, fragile, magnifique.
Ba chez eux, l’éjection c’est financier, hop les allocs par-ci, les aides par-là, vas-y que je gratte, gratte, encore gratte et gratte. Une fois que ces trucs sortent, c’est la société qui s’en charge ; crèche (eh oui, ils deviennent prioritaires pour y pénétrer ! Monde de dingue : un immigré sans emploi devance le français travailleur… T’as compris j’espère), école, centre de loisirs, éducateurs de banlieue de gauche, animateurs, collège, lycée professionnel etc, puis Pôle En-pois.
On en revient au sujet des bagnoles carbonisées. Les « enfants » ont grandi et deviennent des… euh…ah.. ! ça devient intéressant les mecs !
Le terme est d’importance notable.
J’hésite.
Animaux sauvages, y’a quand même du bon là-d’dans, lions, éléphants, chevaux etc…
Singes ? Effectivement, mais le singe ne brûle rien lui, au zoo ou en forêt il reste sage. Nous parlons ici de comportements inouïs : rassemblement, absorption de substances et autres boissons, hurlements et gémissements, préparation des potions, courses effrénées en meute + hurlements, bèglements, et feux urbains.
On dit quoi ?
Infectes créatures que je nomme ainsi : singes enragés urbains excités. Z’êtes pas contents, outrés, touchés ? Tant pis.
Que faire ?
Flics, CRS, armée, Police Munici-pâle… Non. Non et non. Ferme.
Le best truc de ouf, imparable, surefficace, c’est la milice urbaine citoyenne. Nettoyage citoyen, par les citoyens. Rien de tel que des rageux face à ces singes enragés. A 200 contre 20, on ferait une place nette (ethnique ?) et sans bavure.
Il reste néanmoins des nuits à venir, ma caisse ne demande qu’à vivre, à risques certes, mais finir brûlée vive c’est moins bien qu’à la casse. On reste vigilants et rageux.